Veuille à son corrival faire quelque bon tour ? Se montrer tour à tour dissimulé, sincère. Elle allait satisfaire une fatale envie ; Mais bientôt, s'effrayant des horreurs de la mort : Je suis folle, dit-elle, en s'éloignant du bord : Il est tant de bergers, et je n'ai qu'une vie ! Ne dois-je bien pleurer; Car je n'ai pas la peine desservi (mérité), Elle me fait trembler et tresseuer (suer). A jouir du plaisir d'un si doux mouvement: Ainsi, mon bien-aimé, tant que le nerf lui tire. On limité toujours sa raison et ses pas ! Je serai celle-là, de son vaisseau suivie. Rappelons, s'il le faut, ces trop heureux moments. ô dieu méchant, qui blesse la jeunesse. Ne touche, je t'ai fait la moustiquaire en gaze. Mais laisse à l'infidèle un espoir de pardon ; Puis, n'osant croire encore à ces soirs d'abandon. — Le vieillard entra — mit son cadeau, Cinq francs, dans une coupe en zinc — et l’enculé. Depuis ce jour fatal je ne sais plus sourire; Je sais trop qu'il n'est pas de fin à ma souffrance; De lui plaire jamais je n'ai plus l'espérance. Que dis-je, ma raison; hélas! Attendez que l'orage ait assombri les cieux. Attire de longs cris l'importune harmonie. Et ton baiser, ce soir, a le goût de la mer ; Il me plaît d'en garder l'âpre saveur intacte. Mais le vent a porté vers le large sans bruit. THIBAUD, roi de Navarre.Merci, gentilles Jouvencelles,M'avez reçu dans le châtel.Soyez-tendres autant que belles,Saurez les chants du ménestrel ; Les retins de mon noble maître,Car ai tout appris dans sa cour ;Vous conterai LA MORT D'AMOUR,Et vous verrai plorer peut-être !N'est plus Amour qui bien aimer faisait,Les faux amans l'ont jeté hors de vie ;Amour vivant n'est rien que tromperie :Pour franc Amour priez Dieu, s'il vous plaît !Que franc Amour avait de charmes !Quel éclat brillait dans ses yeux !De sa mort n'avais point d'alarmes,Le croyais au nombre des Dieux. Ton désir jeune et délirant peut rompre mes muscles, courber mes os, me faire râler d'angoisse, je suis ta chose, Sylvius, ne laisse rien de moi, puisque ma volonté. Larme à larme, pleurait la lumière décrue. Pourquoi n'as-tu pas enfoncé les ongles plus avant? Bois dont le front semble approcher les cieux. Amour. Et s'il les fait pleurer, laisse couler tes larmes, Même tout en souffrant, car elles laveront, Au fond du souvenir les anciennes alarmes. Cependant cet amour, si fidèle et si tendre. Un peu d'amour au noir, jeune fille au teint frais: Le gommier n'a-t-il pas, dans nos vastes forêts. A tout le moins soyez de moi recors (souvenez-vous). Qui ! Amour, ainsi qu'un vin répands-toi dans ma veine ! Est-ce un aveu de joie ou de regret ? Le Roi lui demandera de rester à sa solde pendant un an. Je tissais pour tes yeux un doux tapis de fleurs. Ha ! Et perdus dans le sein de l'immense Nature. pourquoi. Brûlure de l'hostie à des lèvres de vierges. Tu te dresses et tu es la force de la forêt! Tu lui dirais.... mais, non, non, je ne suis pas belle. attends la fin du jour ! Super, merci, ça me fait déjà pleins de pistes! Lucinde aux yeux de fleurs, Armelle au col de cygne, S'apprêtent à se rendre au devoir que désigne, Le bel enfant qui signe un éphébat gracile, Et tend d'un geste adorablement malhabile. va, va, plus fort. Je fuis Tircis ; mais que me sert ma fuite. Revenez dans mon coeur, paisible indifférence. je sentais Qu'il éteignait le feu de mon cœur sur ma bouche. donne au courage humain la trempe du métal. Merci! T'aurais-je donc courbé vers ma gorge, ô bonheur? La boulette pour Sully, ce prénom m'a trompé. Et, si l'ingratitude est ailleurs à se taire, "Parmi les peines qui affligèrent mademoiselle Deshoulières, la plus sensible fut la mort d'un jeune officier plein de mérite qu'elle devait épouser et qui fut tué à l'armée." Malgré tous vos appas vous serez effacée. Belles qui ménagez tant d'amours à la fois. Ingrat, pour m'attirer un si cruel tourment. S'unissent dans mon âme afin de te détruire; Mais tous leurs vains efforts ne sont plus de saison; Comment les écouter quant ils veulent te nuire. Que remourus, tant il me fit grand’chère. Dans cette cave en chair où fument des odeurs. A L'état Pur par Laverny Jean; À L'homme qui a Livré une Femme par Victor Hugo; A la Femme Aimée par Renée Vivien; A ma Femme par Paul Verlaine; À ma Femme Endormie par Charles Cros; À Madame Jehanne Gaillarde, de Lyon, Femme de Bon Savoir par Clément Marot; A une Femme par Paul Verlaine; À une Jeune Femme par Victor Hugo; Amitié de Femme par Alphonse de Lamartine Et là, te reposant sur la berge du fleuve, Oh ! - Permets-moi de dire tout bas qu'on est heureux même lorsqu'on murmure. Je ris et je pleure au même moment,Et dans mon plaisir je souffre maintes graves tortures;Mon bonheur s'en va, et pour toujours il dure;Du même mouvement je sèche et je verdoie.Ainsi Amour me mène de manière erratique;Et quand je pense être au comble de la souffrance, Soudain je me trouve hors de peine.Puis quand je crois que ma joie est assurée Et que je suis au plus haut du bonheur auquel j'aspire,Il me remet en mon malheur précédent. Sans leur vouloir de mes pleurs rien toucher, Disant, allez, ce ne sont fors (que) songes. J'irai, léchant la trace où s'imprime ton être. Ne trouvent nul remords dans les champs du passé. Quel l'amour a changée en de cruels soucis. Après tant de serments peux-tu rompre ta chaîne. pourquoi Ton cœur bat-il si fort s'il ne bat pas pour moi ? Serait moins pénétrant s'il n'était point amer. Et les regards de feu de toutes vos étoiles. (Extrait de Ce n'est rien, c'est la vie -  Ed. Le poème qui suit renverse la problématique du Cantique des Cantiques. Délibérée  (décidée) en tous lieux de vous suivre. De ce que fait l'Amour quand il est écouté. Je te retrouverai dans les vignes ardentes. Je mêle, avec plaisir, mes soupirs à mes pleurs. 56 05/02/2019 - 18:51 Je pressens un bonheur qui n'appartient qu'aux cieux! La paille est la douceur d'un vain contentement. Garda l'enlacement du mensonge en ses bras. Oh! Publié dans la Muse française du 15 janvier 1935. Me semblait démentir ton regard plus farouche. « Amitié de femme » est un poème issu du recueil recueillements poétiques paru en 1839 et écrit par Alphonse de Lamartine. Et tu ne sauras pas qu'implacable et fidèle. Olga Medvedkova (CNRS...) Histoire de l'art, Allwomen groups et Girlgroups aux Etats-Unis (1900-1960). La fraîche volupté de vos saisons nouvelles. Toi qui viens sans appel, en ton mâle égoïsme. Je mettrai mes deux mains sur mes yeux, pour cacher. Profane cet amour !.., Je tremble, heureuse et fière... J'ai peur qu'autour de nous on vole mon bonheur ! On se voyait toujours, ce n'était pas assez. Et cette plainte allait toujours s'élargissant. Mais regarde! Hélas ! Amour, où donc es-tu ? d'une qui, frêlement, s'égoutte et ne s'élance, vin ruisselant du roc et des pressoirs sauvages. Dans la mûre si lourde aux doigts de la chaleur. Souvent, après dîner, craignant qu'il ne m'ennuie. Dans un oeil noir se font assez comprendre. Vos yeux bleus sont restés attachés sur la rame. Et ce désir jailli de l'humaine poussière. La source des forêts dira notre jeunesse. Goyaves, ananas. Fou est le jaloux qui tente de garder sa femme. Ne pleure pas ; tes pleurs éveilleraient le blâme : Le monde ?…ah ! Et sa bouche entr'ouverte a bu toute la mer. Le temps me presse, amour, va faire ton devoir. Tu sembles écouter l'écho des harmonies 
mortes; Tes yeux ont le reflet du ciel de Mytilène. Parmi toutes les mers qui baignent les pays, ... J'ai voulu le destin des figures de proue. Guetter réveil à toi...longtemps trop moi languir. Du culte grand et saint qu’on professe à genoux ! (Extrait de Ce n'est rien, c'est la vie -  Ed. Mais quel pouvoir n’eut point cette Bouche divine? Tu crus engloutir là le secret de ton coeur; Mais le monde était là qui te guettait dans l'ombre; C'était peu que ta vie, il voulait ton honneur! Lâche, montre du moins que tu sais bien mourir. Mais vendrait ses parents que nul n'y verrait rien. Le vôtre époux, et que mot on n'en sonne. Dans ces flots soulevés, dont le rapide flux Peint de la passion les accents éperdus ? Je ne t'ai jamais dit. (Dans le volume 5 de la Petite Encyclopédie poétique de Philipon de la Madelaine (1804). toute sang, chair et miel, et l'ai bue en silence. Eclate dans mon vers comme un soleil, Amour ! Je ne viens point rappeler sous vos ombres. Engagions-nous par lui tout le vaste avenir? N'a plus pouvoir dormir tout prêt toi dans cabane. La foule qui dira si mes vers furent beaux. Et renoier amours d'or en avant (et renier amour dorénavant). Elles iront à vous, légères d'être vides. Oui, de plus en même lit. J'aurais dû sans douteNe point paraître en son chemin ;Mais ma maison est sur sa route,Et j'avais des fleurs dans la main.Il parla : j'aurais dû peut-êtreNe point m'enivrer de sa voix ;Mais l'aube emplissait ma fenêtre,Il faisait avril dans les bois.Il m'aima : j'aurais dû sans douteN'avoir pas l'amour aussi prompt ;Mais, hélas ! que te sert, Amour, de me lancer des traits ? ne suis-je ici-bas que pour verser des pleurs ? Elle naviguera dans l'oubli des tempêtes Sur l'argent des minuits et sur l'or des midis. Et quel charme n’a point la parole d’un Dieu? Mets pour le surmonter tous tes traits en usage. Et si j'ose parler, je me perdrai moi-même. La couleur des baisersLes mots ont leur couleur et les baisers aussi Les uns, du ton pâli des roses effeuillées, S'envolent tristement vers les cimes brouillées Où pleure le regret du souvenir transi.D'autres, dernières fleurs, sur le chemin durci, Aux pétales de givre, aux corolles fouillées Dans des pleurs de cristal, sont aux âmes rouillées D'un blanc immaculé sous le ciel obscurci. Je m'abandonne, amour, ma raison y consent. Et si c'est un péché d'avoir beaucoup aimé. Sandelion (Jeanne) 1901-1976 : Pâle fruit... Sauvage (Cécile) : (Dans sa robe à fleurs...), Scudéry (Madeleine de) 1607-1701 : Madrigal, Simiane (Pauline de Grignan) 1676-1737 : La pescheuse, Sormiou (Marie de) 1865-1956 : L'inconsumable, Stuard (Jaqueline de), 16ème siècle : Envoi, Suze (Henriette de la, 1618-1673 : Jouissance (sonnet), Tastu (Amable) 1798-1885 : Lai de la mort d'Amour, Toussaint-Samson (Adèle) 1826-1911 : La jeune morte, Travanet (Marquise de) : Pauvre Jacques (1776). Offrir un poème pour l'anniversaire de votre dulcinée est une attention particulière, un signe de romantisme qui ne la laissera pas indifférente. Oh! Prenons dans ce dessein, l'amour même pour guide ; Autant que je l'aimai, haïssons le perfide ; Mon coeur à ce seul prix peut être assez vengé ; Transformons en fureur mon amour outragé ; Me fasse de son crime une image plus noire. Faut-il que tout cela, ma liberté féconde. Du bon Robert vous connaissez l'histoire: Publié dans les oeuvres de Robert de Crèvecoeur, son amant. Aux fuseaux du printemps avec un lin tout neuf. Non, non ... dans ces instants Eraste était loin d'elle. Je confondais l'odeur de la fourrure avec l'odeur de la femme. Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières, Toujours ! Quels noirs chagrins ont troublé ta carrière ! Où ton front viendra boire et buter ton cerveau; Ce ciel qui nous enserre et que l'instant redore. Que nos cuisses enlacéesL’odeur de nos corps sans honteNos bouches infatiguéesEt nos sexes qui s’affrontentMes seinsTon membre dresséA l’amour qui nous harcèleNos sanglots entrecoupésQue la jouissance appelleNotre désir épuiséQui revit sous nos caressesNos chairsÉmues de baisersQue des doigts plus fiévreux pressentNos ventresEnfin soudés à l’aube conceptionnelleFassent de ces nuits passéesUn chant de rutÉternel. Je bois, faisant pour vous ce dont je suis capable. Mais le temps s'écoulait entre nos mains pressées. Ainsi Amour me mène de manière erratique; Et quand je pense être au comble de la souffrance, Puis quand je crois que ma joie est assurée. Ta flamme et ton respect m'ont enfin désarmée ; Dans nos embrassements je mets tout mon bonheur. Pauvre Jacques, quand j'étais près de toi. Et des femmes dont œil par sa franchise étonne. Dieu leur donne un ciel pur pour abriter leur tête. s'il te demandait ta compagne fidèle. Il se contracta, créant le Désir et la Nue, et du Désir et de la Nue sortit la Matière primitive. D'instinct son coeur battit,Et l'amertume emplit sa paupière gonflée.Que t'a dit son regard, alors fixe et muet?As-tu bien constaté cet infini ravage?As-tu sondé l'angoisse en cet oeil inquiet?Ce brisement d'un coeur aimé, c'est ton ouvrage.La vision tremblante a disparu. Les prés ont de douillets gazons Et des corolles vermeillettes ; Comme becs d'oiselets naissants Les bourgeons brisent leurs coquilles Claires voix et vols bruissants Emeuvent les jeunes charmilles ! Les contours moelleux du buste adolescent. Et ses jeunes marins criaient : « Au nord du monde ! Alors Mélanthis, toutes deux filles de la même mère, Ivres du regret nous irons ensemble au long des montagnes, Parfois, à l'heure de midi, trop douloureuses. En la grappe et dans les artères de la vie. Les poèmes d'amour pour femmes sont de jolis poèmes à offrir à une femme pour son anniversaire ou toutes autres occasion. (Extrait de Ce n'est rien, c'est la vie -  Ed. Et cette nuit, passive et nue, n'étais-je pas une reine sous la couronne vivante de tes doigts refermés. - Tous deux. Elle eut à soutenir d'assez plaisants combats. Dans l'adieu déchirant un reproche, un regret. - Permets-moi de dire tout bas qu'on est heureux à deux, confiants, sans frénésie, et sans ouvrir la porte toute grande. L'âme brûlante (1905). Trouble charmant, transports, délicatesse, Les parents sans soupçon laissent parler la Belle. Rétrospective sur l’année 2020, il retranscrit parfaitement le ressenti des enfants sur cette année difficile, tout en sincérité et en spontanéité. Mais si vers moi il s'en venait tout droit. mon corps était un doux et docile animal. Et cependant nous serons tels que cet abîme. Bientôt l'heureux amant dont ton âme est charmée. La rue assourdissante autour de moi hurlait.Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,Une femme passa, d'une main fastueuseSoulevant, balançant le feston et l'ourlet ;Agile et noble, avec sa jambe de statue.Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.Un éclair... puis la nuit ! Poèmes écrits par des femmes. L'entendre m'exprimer ses plus doux sentiments. Il n'en fallait pas tant ; le pauvret endormi, A force de plaisirs languissait près sa belle. L’ouvrage rassemble des textes exclusivement écrits par des femmes de tous horizons : romancières, poétesses, penseuses, dramaturges, de toutes époques. J'avais discipliné cette âme trop fervente. D'un troisième la patte à l'immoler s'apprête. Soupçonner les amis qu'on devrait estimer ; Être le jour, la nuit, en guerre avec soi-même ; Voilà ce qu'on se plaint de sentir quand on aime. C'est pour le détester qu'il faut m'en souvenir. Et se penche, crispé du mal d'interroger. Dit un vieux scélérat blanchi sous la malice. La mort est implacable et le ciel insensible ; Eh bien ! Pour la première fois, quittant votre air morose, Vous m'avez, hier soir, donné le bras. Pourveu que, comme vous, j'eusse aussi ma moitié! sautez bouchons, sautez bouteilles. Je meurs entre les bras de mon fidèle Amant. Animes-tu l'oiseau, dont l'aile fugitive Vole au-dessus du lac et trouve à l'autre rive L'asile et le doux nid aux fragiles réseaux Qui semble un fruit chantant aux feuilles des roseaux ? Et ce frémissement de tout l'être en attente, O signe annonciateur de cette heure éclatante. attends la fin du jour ! Sur la couche meurtrie où ton beau corps se dresse. S'il s'offre à mes regards, mon âme est éperdue; S'il s'éloigne, je meurs! ................................................................... J'entends battre mon sein... Il bondit, je m'enivre ; La vie afflue en moi comme dans le réveil ! N'as-tu pas eu ma voix, mon charme et ma caresse, L'aveu que rien n'efface ou ne saurait changer. Faut-il dédier cette page à tant d'auteurs d'anthologies intitulées "Les plus beaux poèmes d'amour de la langue française", qui ne comportent pas  (ou si peu) de poèmes de femmes ? Eh bien ! Mon coeur content, qui peut le satisfaire? Votre pas soit guidé par la trace du mien. Un feu surnaturel les a fondues dans mon cœur, comme en un creuset dévorant. Quand les lames l'attaqueront comme des bêtes. Ont emporté ma vie et ma joie avec elles ? Qui fait à mon amour la plus cruelle injure ? Qu'apporte le respect, l'honneur, la jalousie. que votre corps est beau! Chacun se dresse alors saisi d'uns ivre rage. Irez-vous à tâtons toujours dans la tendresse ? Quand vous voulez encore être plus adoré. c'était mon paradis. O blanche, tes cheveux sont d'un blond de maïs. - Fugitive beautéDont le regard m'a fait soudainement renaître,Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?Ailleurs, bien loin d'ici ! Je veux, si je me blesse aux buissons de la route. De ce mal inconnu faut-il mourir un jour? Ta voix a la langueur des lyres lesbiennes. ». Pour plaire, pour aimer, elle est épanouie; Ah! Hélas ! Tout lui confirme, hélas ! Je mettrai mes deux mains sur mon coeur, chère vie. Et moi-même, ne puis-je animer toutes choses. n'a-t-il été qu'un jeu de nos lèvres habiles? Et pleurer dans leurs nids tous les oiseaux des bois. Les yeux bleus des blondesRecèlent le charme fascinant de l'onde. Tu vas au changement lui servir de modèle ; Pour punir un perfide, il faut une infidèle. L'impossible baiser de tes lèvres de pierre. Tous mes jours sont marqués par de nouveaux malheurs ; Ciel ! De se conduire par raison. Dans L’écriture-femme, Béatrice Didier, dont le point de vue n’est pas exactement celui des penseuses des années soixante-dix, déclare que l’ancrage de « l’écriture féminine », dans ce qu’elle comporte de neuf « et révolutionnaire », réside dans « l’écriture du corps féminin, par la femme elle-même ». Sur deux coeurs fiers qu'il met aux prises ; Deux coeurs d'égal orgueil qui, devant la traîtrise. Ce forum permet de créer des contacts professionnels et amicaux entre collègues, et d'échanger sur le monde de l'éducation et la pédagogie. Est ton baiser de sang, ton ardent baiser rouge ! suis-moi, blanche femme,Afin que je te serve et te parle à genoux!Qu'importe ma couleur, si je suis bon et doux,Et si le noir chez moi ne va pas jusqu'à l'âme!Si tu veux, pour t'avoir coquillage et corail,Un oiseau-mouche, oiseau d'escarboucle et d'émail,J'irai dans la savane et près des tièdes lames,A l'heure où s'enfuirait le blanc le plus hardi;Lorsque de tous côtés la chaleur de midiEnveloppe le corps, comme un manteau de flammes.O blanche, tes cheveux sont d'un blond de maïs,Et ta voix est semblable au chant des bengalis!Si tu voulais m'aimer, ce serait douce chose!Mais quoi! Elle seule semblait ne les connaître pas. Venez aspirer, claire amie, Ces alluchants parfums si doux Qui s'en vont par val et prairie ! Qu'est-ce donc que je sens? — Le vieillard entra — mit son cadeau,Cinq francs, dans une coupe en zinc — et l’enculéTournant le dos porta ses jumelles rondeurs,Dames-jeannes d’amour, au bouchon du miché.A grand’aide de suif, il fut vite fichéDans cette cave en chair où fument des odeursDe salpêtre et de bran, ce dard qui sautillait,Éperdu, dans ses doigts! Feu sans foyer dont j'ai fait tout mon jour. La vierge tremble au bras d'un époux ravisseur. Nul trouble, nul remords pour ton âme légère. O corps du bien-aimé, je te louerai le jour. Silence ! Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. Publié sous une autre forme dans le 1er volume de Joseph de la Porte (1769)), Très haut amour, s'il se peut que je meure, En quel passé votre temps, en quelle heure. Je veux de vos bonheurs prendre tout haut une part, Le front calme et serein, sans craindre aucun regard ; Je veux, quand vous entrez, vous donner un sourire, Trouver doux de vous voir, en osant vous le dire. Elle passait, le front penché, la marche lente; Tu la vis: ton regard craintif, préoccupé. Ce poème est écrit pour les épousailles rituelles qui étaient renouvelées chaque année pour assurer la fertilité des terres et la fécondité des femelles. Pourquoi faut-il encor que mon coeur te rappelle ? L'enseignement secondaire et ses disciplines, "Avant les Dieux, les ténèbres étaient seules, et un souffle flottait, lourd et indistinct comme la conscience d’un homme dans un rêve. Où les corps embrasés trouvent leur paradis. Que j'allais près de vous ainsi, comme jadis. Le nœud de tes épaules est dur sous les mains;L'axe du monde est dans ta chair.... Mais je louerai ton cri sauvage,Mais je louerai ton corps qui embaume,C'est un bois sauvage aux rudes fleurs.Je louerai ta brutalité,Le sanglot rauque de ta chair;Je louerai ta sève immenseOù l'univers est en puissance.Je louerai tes poings et comment ils se dénouentTout à coup quand tu retombesAu creux d'une épaule,Plus doux qu'un petit enfantEt plus innocent qu'un ange. qu'il est doux d'aimer! (Malheur à moi). Le dépit, la fierté, le désespoir, la honte. pour avoir trop rêvé, des détails flétris; si ce qui nous attend était cette détresse, en menace changeaient la brûlante promesse, si notre amour était la prison sans issue. Et s'il voulait, tant soit peu, me toucher, Lui jetterais pour le moins ma main pleine. Je vivais sans amour...La solitude austère. Sur ma sincère ardeur alors ouvrant les yeux. Et dont avoir je voulusse l'épreuve (l'éprouve). Ses sens sont engloutis dans ce gouffre odieux, Il faut qu'ils soient punis ; fidèle à ses Pénates, La Vengeance contre soi-même, et le chat amoureux, contes en vers, 1712, Merveilleuses contrariétés qu'on expérimente dans l'amour. D'un et d'autre côté le péril est extrême. Des astres qui peut-être avant nos cieux ont lui ? En laissant échapper les rayons do mon coeur. Que d'aucun crime encor son coeur n'était souillé. Dans un coeur accablé, malheureux et fidèle. Oh ! e renferme l'amour, ce breuvage coupable. je me faisais mille tendres alarmes ; Au gré de mon amour, j'avais trop peu de charmes ; Je ne croyais jamais combler tous ses désirs ; Et j'étais malheureuse au milieu des plaisirs. Ne craignez pas ses pleurs en le voyant périr : Impétueux transports d'une ardeur insensée. O bien-aimé, fraîcheur, parfum de la colline. Tous les jeux préférés de Silène et des Faunes. Je ne t'ai jamais dit mon fol enivrement. Vous chercher du regard, et sans crainte, sans doute. La rue assourdissante autour de moi hurlait. quelle est ta pure essence ?
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